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Lead Forward Executive Summit 2022

Au cœur de cet événement, des dirigeants issus du secteur de la Finance, de l’Industrie, de la Santé, du Public et du Retail sont venus partager leurs idées et leurs stratégies gagnantes pour stimuler la croissance par la technologie, favoriser l’innovation, augmenter l’expérience clients et collaborateurs. 

Emission n°1 : « L’IA au service de l’humain : ces projets qui vont transformer la finance et l’assurance » 

Cette table-ronde organisée avec l’Agefi et Alliancy, a permis de faire débattre des entreprises de la finance et de l’assurance sur leurs projets d’intelligence artificielle les plus aboutis. Analyse de texte, chat-bots, aide à la décision… ces usages sont la preuve que l’IA n’est plus au stade de l’expérimentation dans de nombreuses organisations, car elles se sont donné les moyens de l’industrialisation – et ce, quelle que soit leur taille.  

Pendant cette émission, la variété des métiers transformés par l’IA est mise en avant, avec les témoignages de Société Générale, de l’assureur BNP Paribas Cardif et du fonds d’investissement Jolt Capital : tous veulent mettre l’IA « partout où elle est pertinente » pour soulager les équipes, leur libérer du temps pour des interactions avec des clients, ou encore faire émerger de véritables « gérants augmentés » ou « conseillers augmentés ».  

Les invités décrivent comment ils ont structuré leurs équipes pour travailler efficacement et leur travail sur la relation Data/IT/Métier qui a permis le succès de leurs projets. Ils reviennent aussi sur leurs choix technologiques, notamment en termes d’infrastructures, et sur leur capacité à exploiter les briques open source et les expertises du marché. L’occasion par ailleurs de partager leurs recettes afin d’attirer les bonnes compétences pour travailler sur ces innovations de pointe ! 

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Emission n°2 : « Les champions de l’IA : ces entreprises qui bousculent les usages » 

Cette table-ronde organisée avec Alliancy, fait un focus sur les meilleurs cas d’usage français actuels en matière d’intelligence artificielle dans l’industrie et le retail. En particulier, le groupe minier et métallurgique Eramet y témoigne de la façon dont l’analyse d’images de drones permet de faciliter le reboisement des sites miniers ou d’améliorer la résilience de lignes ferroviaires servant à acheminer les minerais. De son côté, le spécialiste de la vente automobile Aramis Auto y détaille comment il a été possible de faire entrer l’IA jusqu’au cœur de son usine de reconditionnement, pour analyser les défauts et dégâts des véhicules.  

 

 L’occasion également de répondre à de nombreux questionnements sur les prérequis technologiques et organisationnels de tels projets : l’utilisation du cloud est-elle vraiment incontournable ? Quels sont les meilleurs moyens pour embarquer une population variée d’experts dans l’aventure ? Quelles exigences avoir en matière d’Api, de micro-services ou encore de liens entre legacy et applications modernes ? Et de bénéficier d’un éclairage sur les différences entre approches françaises et américaines de l’innovation IA (Intelligence Artificielle) par le spécialiste William Eldin de XXII. 

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Emission n°3 : La DSI au service de la Recherche et de l’Innovation : réconcilier Agilité et Sécurité 

Données : comment les organisations répondent aux nouveaux enjeux dans le secteur de la santé 

Durant cet échange, les participants, issus de directions informatiques de grandes institutions de santé et de recherche (FHF, CHUs, INSERM) ont évoqué leur vision des principaux enjeux de leur secteur autour de la donnée et les bonnes pratiques pour y répondre.

Longtemps cantonnés aux tâches administratives, les systèmes d’information de ces institutions sont confrontés à des impératifs de transformation profonds sur les plans technologique et organisationnel pour devenir des moteurs de l’innovation.

 En plus des obligations de sécurité et de conformité, très strictes dans le secteur, ces institutions doivent faire face à des objectifs stratégiques de collaboration interne, mais aussi externe, avec des pairs, des organismes de soin ou de recherche et des entreprises innovantes capables de valoriser leurs données et de les aider à progresser dans leurs missions.

D’un point de vue technologique, elles y répondent avec le recours à des entrepôts de données, une consolidation de leurs infrastructures et le déploiement de plateformes qui permettent la fourniture de services modernes.

D’un point de vue organisationnel, la mise en place de normes et de standards communs, un effort de conduite de changement, et une collaboration étroite avec les différents métiers aide ces structures à se transformer et à tirer le meilleur parti possible des technologies pour construire l’innovation et devenir des centres de valeur.

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Réduire l’empreinte environnementale du numérique : quelles solutions ? 

Dans une ambiance conviviale et constructive, les intervenants ont fait valoir la prise de conscience depuis plusieurs mois sur le sujet de la maîtrise de l’empreinte environnementale des activités numériques, qui restait un angle mort des politiques publiques.
Dans un contexte de crise économique et énergétique, les entreprises, les organisations professionnelles et le législateur se sont tous saisis des enjeux environnementaux du numérique, utilisant l’innovation et la transformation numérique pour concilier compétitivité et transition écologique.

Pour le Sénateur Houllegatte, auteur d’un rapport devenu loi sur l’empreinte environnementale du numérique, l’objectif premier était d’accélérer cette prise de conscience en faisant pression sur les entreprises pour qu’elles s’emparent concrètement de cet enjeu. Cet objectif a pour lui été réalisé, il a commencé à recevoir sur son bureau la stratégie de réduction des émissions carbone de nombreuses entreprises françaises, telecoms notamment. Le rôle du législateur sera désormais de contrôler que ces engagements sont suivis d’effets.

Jean-Benoît Besset, directeur des stratégies réseaux et IT d’Orange France et responsable de l’élaboration du plan stratégique réseaux de l’entreprise, a fait part d’une stratégie à la fois en interne au-delà de la DSI de l’entreprise qu’en externe et partant du constat que la maîtrise de l’empreinte carbone des activités numériques s’est posée différemment en France, en raison d’un mix énergétique historiquement décarboné par rapport à d’autres pays européens. L’approche systémique et en étroite lien avec tous les acteurs de la chaine de valeur du numérique doit marquer la feuille de route à l’avenir.

Il est indispensable de rappeler le lien mécanique existant entre l’utilisation de plus en plus intense des solutions cloud et la hausse de la consommation énergétique des organisations. Les émissions imputables à l’utilisation du cloud en Europe pourraient augmenter de 250% dans les 20 prochaines années à trajectoire constate. C’est ici que virtualisation intervient comme un moyen efficace pour réduire les émissions carbone du secteur en augmentant la performance des serveurs, et permettant de maitriser la consommation et la performance. L’innovation du numérique peut être un atout pour la compétitivité des organisations comme pour leur transition écologique.

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